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aliasmarine
Carpe Diem
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aliasmarine
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   Posté le 13-05-2004 à 18:04:32   Voir le profil de aliasmarine (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à aliasmarine   

Bon et ben voilà notre nouvelle fic

Chapitre 1

Ca y est j’y suis ! Je me revois encore il y a deux ans traverser ce même hall, coiffée de ma perruque rouge. Aujourd’hui les circonstances sont toutes autres, à l’époque je voulais venger la mort de Danny, maintenant je tente de réparer mes erreurs. Il y a 1 an quand j’ai tout abandonné, tout plaqué, je ne me doutais pas qu’un jour je pourrai entrer à la CIA par la grande porte, sans être pourchassée par le SD6.

Pénélope : Je peux vous aider ?

Sydney : Oui, j’aimerais voir Monsieur Devlin.

P: Une minute, je vérifie qu’il puisse vous recevoir, vous êtes ?

S: Bristow, Sydney Bristow.

P: Monsieur Devlin, Sydney Bristow souhaiterait vous parler.

La jeune standardiste raccroche le téléphone puis s’adresse à moi.

P: Monsieur Devlin vous attend dans son bureau

Je me rends dans le bureau du directeur. Il me fait un très très très intéressant et très très très long briefing sur la position de la CIA face à Sloane.
Après trois quarts d’heure d’un discours passionnant, Devlin m’envoie passer une série d’examens psychologiques. Je les comprends, je pars à l’autre bout du monde, du jour au lendemain sans laisser une trace, ils ont bien raison de me tester, je me demande moi-même si je suis fiable.
J’ai fini, je ne sais pas ou plutôt, je n’ai pas réussi à compter le nombre d’heures où je suis restée avec des capteurs sur le crane et branchée à des machines. Enfin !!!
Je marche d’un pas lourd et fatigué en direction de la grande salle lorsque mon regard se pose sur un agent bien particulier. Je m’arrête net, mon corps est traversé par un léger frisson. Il n’a absolument pas changé, il a toujours cette même silhouette élancée et ces même cheveux ébouriffés. Il se retourne vers moi, les yeux rivés sur le dossier qu’il tient entre ses mains. Je l’observe quelques temps, puis me décide à avancer vers lui. J’ai beau marché rapidement, les dix mètres qui nous séparent, semblent se rallonger à chaque pas. J’ai la sensation que tout tourne au ralenti, comme dans un film, chacun de ses battements de cils semble durer des dizaines de secondes.
Il vient de lever les yeux vers moi, un sourire béat se dessine lentement peu à peu sur ses fines lèvres. Il avance vers moi, d’abord lentement puis il se met à courir. Je sens mon cœur mon cœur qui s’emballe, il bat si fort qu’une douleur lancinante m’oppresse la poitrine. Alors que je suis persuadée que plus rien ne peut m’empêcher de retrouver Vaughn…

On sait que c'est court même très court mais ce n'est que le début.

PS : Donnez moi votre avis, please
aliasmarine
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aliasmarine
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   Posté le 13-05-2004 à 18:08:18   Voir le profil de aliasmarine (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à aliasmarine   

J'ai oublié de préciser c'est une fic SVS, bien sur

Chapitre2

Alors que je suis persuadée que plus rien ne peut m'empêcher de retrouver Vaughn, une grande blonde lui saute au cou. Michael referme ses bras protecteurs sur sa taille et la fait tourner autour de lui. En quelques secondes ma vision se voile, et mon cœur qui battait la chamade vient de s’arrêter brutalement. Les idées bouillonnent dans ma tête. Je suis complètement larguée. Je sens mes jambes se défiler sous moi. Mais ma pauvre Sydney il est tant de te réveiller. Tu
pensais qu’en claquant des doigts, il te sauterais au cou . On dirait une enfant, je suis aussi naïve ! Je pars pendant un an et je crois le retrouver comme je l’ai laissé. Qu’est ce qu’on est stupide quand on est amoureuse !! Et cette blonde qu’est ce qu’elle lui veut à mon Vaughn. Je ne la connais pas mais je la hais déjà 1 elle est la place où je rêve d’être : dans les bras de Vaughn, 2 elle est atrocement jolie. Je pourrais surement écrire un livre « Comment se faire des idées » Je suis championne dans ce domaine et aussi dans celui du « Comment se ramasser » Je plaisante maintenant mais c’est pour mieux pleurer ce soir à coté de ma bouteille de Malibu seule , sans Vaughn. Je ne suis bonne qu’à semer le malheur autour de moi. Et ce qui m’arrive je l’ai bien mérité. Vaughn n’allait pas m’attendre, c’est un homme il a des besoins et il n’a surement pas besoin d’une Sydney Bristow sur le dos. Je ne peux m’en prendre qu’à moi.
Ca doit faire 5 min que je n’ai pas bougé un pied du sol, je remarque que certaines personnes me fixent. Deux choix s’offrent à moi :
1) m’écrouler par terre en snglots et passer pour la pleurnicheuse.
2) Je m’enfuis quelque part où personne ne viendra chercher, cette solution je l’ai déjà choisie et j’en paye encore les conséquences.
Papa, le seul être sur Terre qui veut mon bonheur. L’année dernière en les quittant je m’étais juré de tirer un trait sur tout. Certaines choses ou certaines personnes ont été plus facile à oublier que d’autres mais mon père est toujours resté mon père malgré les km qui nous séparaient. C’est le seul à être qui était au courant de mon retour. Je n’ai pas le temps de réfléchir et me jette dans ses bras. Il murmure mon prénom à mon oreille et semble infiniement soulagé de me voir revenue.
Nous restons là dans les bras l’un de l’autre sans prononcer un mot. Ils sont inutiles, nous savons tous deux que nous nous sommes manqué. De toute façon ma famille n’a jamais été très douée pour les speech de retrouvailles émouvants.

J : Ce soir j’aimerais bien t’inviter au restaurant .

Malgré les difficultées qu’il a à exprimer ses sentiments il sait me les faire ressentir et c’est le principal. Si je n’étais pas déjà dans ses bras je lui sauterais au cou.

S : Avec plaisir.

Je sens que mon père veut cesser l’étreinte, mais je ne veux pas , je voudrais garder ma tête dans le creux de son épaule. Après quelques secondes d’attention je viens de comprendre, je sens « sa » présence derrrière moi, un frisson remonte le long de mon dos et se propage dans tout mon corps, je ressere mon étreinte mais mon père parvient à s’en détacher .

V : (d’un ton froid) : Bienvenue Bristow

Que répondre à ça.

J : Devlin nous attend tous en salle de briefing.

C’est particulier comme sensation, je rentre dans cette pièce et j’ai l’impression de revivre une scène du passé, de mon autre vie pourtant c’est la première fois que j’y met les pieds. A l’époque, je ne me rendais jamais au siège de la CIA, j’avais seulement droit à l’entrepôt ou dans des lieux publics où nous ne pouvions pas échanger un regard.
Nous sommes tous installés et nous n’attendons plus que Vaughn et sa blondasse dont j’ignore encore le nom. Ils ne se firent pas attendre longtemps car quelques secondes plus tard, ils firent leur rentrée, accrochés l’un à l’autre se tordant de rire.
Je la hais, je la hais. Je veux sa place. Partager avec Michael un moment complice que ni l’un ni l’autre ne pourrait expliquer. Il reste une place vide à côté de moi mais j’ai le préssentiment qu’il préfèrera celle qui est à mon opposé. Et je ne me suis pas trompée

Devlin : Pourriez vous prendre place rapidement, nous n’attendons plus que vous.

Cassandra : Désolée

Devlin : D’après notre contact à San Diego du Chili, Giono Diva Rio organise une grande fête dans son palis dans deux jours, il en profitera pour faire l’échange du CD que l’agent Vaughn et l’agent Newman ont laissé filer la semaine dernière. Vous partez tous les quatre dans 1 heure. Bonne chance ! J’allais oublié, je pense que vous avez remarqué le retour d’un de nos agents: L’agent Sydney Bristow
Pendant tout le briefing, je l’ai cherché du regard et lorsque par hasard nos regards se croisaient, il tournait la tête. Pas un sourire, pas un regard, il me fuit ou plutôt il m’ignore. Je sers la main à de nombreuses personnes qui me souhaite un bon retour mais lui a préféré partir comme si de rien n’était. A choisir je préfère être mépriser qu’ignorer.
La salle de réunion se vide. Il faut à tout prix que je parle à Vaughn. Je l’attrape par le bras et l’attire dans un coin à l’abris des oreilles indiscrètes

S : Pourquoi tu m’évites ?
V : Oh, les rôles sont inversés
S : Je ne te fuyais pas toi, je fuyais ma vie.
V(ironiquement) : C’est vrai ça change tout.
S : Je comprend toujours pas pourquoi tu m’évites.
V : ouvre un peu les yeux, tu pars sans rien dire et tu reviens tout sourire presque un an plus tard et tu penses que tout le monde va t’accueillir les bras grands ouverts. En fuyant, tu n’as pensé qu’à toi tu as mis en danger la vie de to père, tu as sabordé notre travail contre le SD6. Tu as pensé à moi ? Comment voulais tu que je réagisse ?
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   Posté le 13-05-2004 à 18:10:17   Voir le profil de aliasmarine (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à aliasmarine   

Chapitre 3



S : Pourquoi tu m’évites ?
V : Oh, les rôles sont inversés.
S : Je ne te fuyais pas toi, je fuyais ma vie.
V(ironiquement) : C’est vrai ça change tout.
S : Je ne comprends toujours pas pourquoi tu m’évites.
V : Ouvre un peu les yeux, tu pars sans rien dire et tu reviens tout sourire presque un an plus tard et tu penses que tout le monde va t’accueillir les bras grands ouverts. En fuyant, tu n’as pensé qu’à toi tu as mis en danger la vie de to père, tu as sabordé notre travail contre le SD6. Tu as pensé à moi ? Comment voulais-tu que je réagisse ?

#####FLASHBACK####

Je viens de raccroché. C’est dingue comme un seul coup de téléphone peut changer une vie. Grâce à lui demain, je vais renaître. Demain je serais loin d’ici, loin de Sloane, loin de cette vie de mensonge. Demain je tire un trait sur Sydney Bristow, l’agent double, qui a fait assassiner son fiancé et ment à ses meilleurs amis. Lorsque Noah m’a appelé, je pensais décliner son offre, je ne me sentais pas capable de tout plaquer et de partir avec lui. Mais au moment de dire non, j’ai accepté, je n’ai pas vraiment réfléchi aux conséquences mais je suis persuadée de faire le bon choix. Avec Noah je ne serais plus forcée à mentir pour protéger la vie de mes proches, je pourrais avoir une vie normale, un job normal, des relations normales. Il me reste moins de 24 heures pour dire adieu à Sydney Bristow et à sa vie chaotique . Je voudrais clôturer définitivement cette vie, profiter une dernière fois des quelques joies que me procure mon quotidien. Je voudrais n’avoir rien à regretter, pouvoir me remémorer des souvenirs sans douleurs mais avec la conviction que ce départ était une bonne chose.

DRING !!!!!

Ce doit être Vaughn enfin un client des pizzas Joey. D’habitude je saute sur le combiné pour la bonne raison que ça fait une demi-heure que j’attends qu’il “ m’ordonne ” de le retrouver à l’entrepôt. Si ça ne tenait qu’à moi, j’y passerais mon temps. Mais cet appel pour les pizzas Joey est le dernier et je veux prendre le temps de savourer. Finalement je décroche.

S : Allô ?
V :Les pizzas Joey.
S : Désolée, vous avez du faire un faux numéro !

En prononçant cette phrase que j’ai tant de fois répété, ma gorge se noue, l’émotion trouble ma voix. Demain je vais renaître, mais ce soir, dire au revoir à Vaughn va me tuer. Je vais le retrouver à l’entrepôt pour la dernière fois et lui ne se doute de rien. C’est notre meeting et je vais lui mentir. J’aurais tellement souhaité lui laisser un autre souvenir que celui de la femme qui a trahit sa confiance pour partir avec un autre. J’aurais tellement aimer ne pas avoir à lui dire adieu et rester à ses côtés. Mais il a fallu que je fasse un choix. Je suis restée quelques minutes, assise par terre à côté du téléphone, pétrifiée. J’ai beau être habituée à enfouir mes émotions face à ceux auxquels je tiens, ce que je m’apprête à faire devant Vaughn risque d’être bien plus pénible.
Un quart d’heure plus tard je me gare derrière l’entrepôt, la voiture de Vaughn est déjà là. A l’intérieur il m’attend, prêt à me réconforter, à me redonner foi en ce que je fais. Je ne sais pas comment j’aurais fait si au lieu de Vaughn j’avais eu Lambert comme agent de liaison. Je n’aurais jamais pu aller là où je suis sans lui. Je lui suis tellement reconnaissante de m’avoir pris dans ses bras lorsque j’avais besoin de réconfort, de m’avoir fait rire lorsque mon moral était au plus bas, d’avoir répondu présent à chaque fois que j’avais besoin de lui. Je lui dois tant et je n’aurais plus l’occasion de lui rendre la pareille. Je crois qu’il est impossible que je laisse Vaughn derrière moi sans un regret. Je parcours les quelques mètres qui mènent à l’entrepôt, réunissant mes dernières forces. Vaughn est assis sur une table, il balance ses pieds dans le vide nerveusement. Il porte un costard bleu et une chemise blanche comme à son habitude. A chaque rencontre je le vois ainsi et je ne m’en lasse pas. Bien sur j’adorerais le voir en pyjama les cheveux en bataille et l’air mal réveillé, ou alors l’été à la plage avec son short de bain ou bien en tenue de hockey. Il vient de m’apercevoir, il descend de sa table et s’approche de moi. Son visage se détend, il semble soulagé de me trouver en parfaite santé.

V : Syd !
S : Hey.

Il plonge son regard tendre dans le mien. C’est sa manière à lui de me faire sentir qu’il est heureux que je sois rentrée de la mission saine et sauve. Elle est comme ça notre relation : remplie de non dits et de sentiments inexprimés mais basée sur un amour complice et silencieux. En tout cas c’est ainsi que je la vois. Au début, il s’agissait seulement d’un collègue puis il est devenu un confident et un ami, ensuite j’ai commencé à attendre avec impatience mes contres missions et maintenant je dois le quitter sans qu’il sache que je l’aime.

V : Alors comment c’est passée la mission.
S : Bien, il n’y a pas eu de problèmes.
V : Et Noah ?

Je sens une pointe d’agacement dans le ton sur lequel il a prononcé son nom. Serai-ce une once de jalousie ? Non, ma petite Sydney ne prend pas tes rêves pour des réalités. Je ne dois quand même pas être normale, mon cœur bat la chamade devant l’homme qui me fait face et je quitte la ville avec un autre. Il vaut sûrement mieux pour Vaughn, les gens auxquels je m’attache finissent mal en général.

S : Il va bien.

Vaughn m’explique les deux trois trucs qu’il a appris durant mon absence. Mais je ne l’écoute pas, le son de sa voix résonne dans ma tête tandis que mes yeux étudient chaque trait de son visage.
J’essaie de retenir chaque mouvement de ses lèvres, la couleur émeraude de ses prunelles, la petite fossette sur son menton, les petites rides aux coins de sa bouche. Il est tellement magnifique, il n’en a même pas conscience.

V : Sydney, t’es sure que ça va, tu as l’air ailleurs.

Oups Sydney, tu pourrais être un peu plus discrète.

S : Ne t’inquiète pas je vais bien.

Un silence gêné s’installe.

S : Vaughn, je ne te le dis jamais assez souvent mais merci, merci de faire tout ton possible pour faciliter mon existence. Merci de me soutenir quoi qu’il arrive. Je ne tiendrais pas sans toi. Tu es définitivement mon ange gardien. Vaughn sourit au souvenir de ce surnom que je lui ai donné, il y a longtemps.

V : De rien Sydney. Je le referais sans hésiter.

Vaughn ne cesse de scruter mon visage, comme s’il sentait l’adieu que je suis en train de lui faire. Il faut que je lui parle, je ne supporte pas de lui mentir. Il a toujours été honnête avec moi, il m’a toujours témoigné une confiance infinie. Mais s’il savait, il tenterai de me dissuader. Et je serais incapable de partir alors qu’il le faut absolument.

S : Je dois y aller, j’ai encore du boulot qui m’attend pour l’université.

Je lève une dernière fois les yeux sur lui. Ca y est c’est fini, je dois lui dire adieu, je dois me retourner et m’en aller. Je sens mon courage m’abandonner, malgré les efforts que je fais mes yeux ne quittent pas ceux de Vaughn et mes pieds restent scotchés face à lui.
Finalement j’y suis arrivée, chaque pas qui m'éloigne de Vaughn entaille mon cœur un peu plus. Je le sens qui se vide de son sang à l’intérieur de ma cage thoracique. Et ça il ne le saura jamais. Il ne saura jamais combien il compte pour moi et combien j’ai mal de le laisser.

V : On se revoit bientôt.

Mes joues s’inondent de larmes silencieuses. J’aimerais me retourner vers lui mais je n’en ai pas la force.

S : Je t’appellerai demain.
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   Posté le 13-05-2004 à 18:49:50   Voir le profil de les pizzas joey (En vacances)   Répondre à ce message   http://pizouzou.free.fr   Envoyer un message privé à les pizzas joey   

Merci madame, je redirais ce que je t'ai dis, j'adore !!


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"In the sepulchre there by the sea
In her tomb by the souding sea."
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   Posté le 13-05-2004 à 18:56:59   Voir le profil de Guardian Angel (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Guardian Angel   

je te l'ai deja dis mais j'adoreuhh ta fic bravoooooo


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   Posté le 13-05-2004 à 19:06:34   Voir le profil de aliasmarine (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à aliasmarine   

Et bien moi je vous le redis aussi MERCIIIIIIIIII
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   Posté le 13-05-2004 à 20:01:30   Voir le profil de les pizzas joey (En vacances)   Répondre à ce message   http://pizouzou.free.fr   Envoyer un message privé à les pizzas joey   

Au fait, Marine, j'ai finit de corriger la partie 4 !!


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   Posté le 13-05-2004 à 21:21:47   Voir le profil de aliasmarine (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à aliasmarine   

Si quelqu'un n'avait pas compris, Julia corrige mes chapitres

Chapitre 3 bis

S: Je t'appellerais demain.

A peine ai-je eu fini de prononcer ces mots que je reprenais ma marche vers la sortie. Mes jambes incapables de bouger il y a quelques minutes, ne s’arrêtent plus d’avancer. Enfin j’atteins la sortie. Dehors un orage de chaleur a éclaté, les nuages disparaissent par une douce pluie d’été. Devant ma voiture, je fais une pause, la pluie rafraîchit mon visage rougit par la douleur. Un élan de sérénité m’envahit. Il ne calme pas ma douleur mais apaise mes nerfs ; pour la première fois depuis l’appel des Pizzas Joey, je respire. Je me sens libérée, mouillée mais libérée.
Vaughn sort du hangar à son tour et se dirige vers sa voiture. Il ne m’a pas aperçu. Avant que j’ai pu comprendre ce que je faisais, je me suis retrouvée face à lui, et son regard étonné sur moi. Mes jambes se liquéfient, je lève mes yeux pour regarder la pluie à la recherche de la sérénité qui m ‘a envahit quelques minutes auparavant. J’abaisse mon visage à nouveau un air de plus en plus suspicieux se dessine sur celui de Vaughn.
Mes lèvres deviennent dangereusement proches des siennes mais il reste toujours inactif, le regard
droit. Il est encore temps de me raviser, de faire le chemin inverse, de m’enfermer dans ma voiture et d’oublier cette pulsion. Mais je n’en ai pas la moindre envie. Ce que je veux, c’est goûter les lèvres de Michael Vaughn au moins une fois dans ma vie. Mes lèvres frôlent les siennes et tout en douceur viennent s’y coller. Aussitôt je recule mon visage. J’ai l’impression d’être redevenue la petite fille de 12 ans qui donne son premier baiser. Je ne sais plus ce que je fais, ni ce que je dois faire, tout autour de moi semble enveloppé d’un épais brouillard. Des millions de papillons batifolent dans mon ventre, et mes jambes fondent comme des marshmallows sur un grill. Je suis comme paralysée, incapable de faire le moindre mouvement, même regarder Vaughn me parait infaisable.
Après quelques secondes, je retrouve un semblant de tranquillité. Vaughn dépose ses mains le long de mon visage, ses doigts fins glissent contre ma nuque. Un doux frisson traverse mon dos alors que je me rapproche à nouveau de Vaughn. Cette fois-ci je ne me sens plus dépassée par les évènements, mais au contraire, aux aguets de toutes les sensations qui m’assaillent. Les lèvres de Vaughn, sa langue, son souffle chaud contre mes joues, ses doigts dans mon cou, tout me fait oublier le contexte qui nous entoure. Je ne sens plus la pluie glaciale qui nous inondent. Ce doit être pareil pour Michael, peu à peu il se laisse aller, ses bras entourent mes épaules et me serrent contre lui. Nos visages ruissèlent, nos vêtements et nos cheveux sont entièrement mouillés mais rien ne peut nous forcer à relâcher notre étreinte.
Cet instant je l’ai tant souhaité que j’aimerais qu’il ne s’arrête jamais.
Pourtant à un moment Michael a cessé de m’enlacer, il m’a longuement regardé, il a remis mes cheveux derrière mes oreilles, puis il s’est éloigné comme ça, sans rien ajouter. Juste avant de monter dans sa voiture il m’a crié :

V : Oublie pas de m’appeler.

Sa voiture a démarré et il est partie, je n’ai pas eu le temps de réaliser, j’étais encore abasourdie pas notre baiser.
Maintenant je suis dans ma voiture, incapable de la mettre en route parce que mon esprit rempli d’une frénésie maladive ne pense que : “ j’ai embrasser Michael Vaughn. ”
Cette idée immédiatement suivie de “ si on s’est embrassé, c’est que je suis sa petite amie ”

Ahhhhhhhhhhhhhh.

Je viens de faire la chose la plus puérile de la terre mais, oh mon dieu, c’est trop bon !!!!!! J’en veux encore !!!!!
Mais pourquoi est-ce que je dois partir, j’ai pas envie de laisser Vaughn, de le classer dans le tiroir souvenir, et de repenser à lui le jour de la Saint Valentin quand je serais seule, vieille élevant des chats, et de me dire que si j’étais restée avec lui, on serai peut-être mariés avec des enfants, une maison blanche et un chien.
J’ai failli être mariée avec Danny et il est mort. C’est peut être un signe, je suis destinée à élever des chats, seule. Sans qu’il le sache Noah est en train de sauver la vie de Vaughn. Je dois partir, de toute manière ma décision est prise, ce baiser était un baiser d’adieu. Il marque la fin de ma relation avec Vaughn.

##### FIN DU FLASHBACK ######

S : Je suis revenue pour réparer mes erreurs.
V : T'as bien raison, nous c'était une erreur.

Cassie arrive dans la pièce.

C : Mike, tu peux me prêter tes clés, j'ai oublié les miennes à la maison.
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